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Récit nº2 - 14.04.2020

Les derniers rayons d'un soleil bien trop fort pour un 14 avril éclairent somptueusement les crêtes. Un souffle de chance et d'amour pour la nature emporte le plus grand planeur des cimes, le gypaète barbu, jusque sur le plateau subalpin où j'ai décidé de monter mon affût. Les merles à plastron chantent leurs dernières strophes et le soleil s'évapore laissant le crépuscule puis la nuit envahir mes rêves. Vivement demain matin où j'espère observer des petits coq de bruyères...

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